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Afsud 2007 Afrique du sud 2007 : La terre des Bafana Journée 14 Il est temps de se lever… déjà, 5H15 ; ce qui, en période de safari est le moment idéal. Bon, le petit problème, c’est que le soleil ne se lève pas avant 6H, et que les générateurs d’électricité du camp de Mpila sont coupés jusque 8h du matin… heureusement, la douche est alimentée en eau chaude par un boiler au gaz ! La douche, l’habillage, le rangement, et petit dej se feront dans le noir le plus complet. On a heureusement toujours cette microscopique lampe-fantaisie qui nous aura vraiment bien servi !!! A cocher dans la liste pour l’an prochain : une lampe torche, un ouvre bouteille… En route donc pour le dernier drive dans la partie est du pays. Il est 6h25, et le jour est à présent levé (j’ai bien dit le jour, pas le soleil). Il fait cependant moins frisquet que les jours précédents. On a décidé de rester dans la partie Imfolozi du parc cette année ; on repart donc vers la Sontuli loop. 66. Sontuli Loop Le soleil pointe timidement le bout de son nez, ce qui a le don de faire apparaître les animaux comme par enchantement. Après quelques zèbres et impalas, on passe aux girafes, et enfin, aux rhinos. Une mère avec son petit tout d’abord, slalomant entre les arbustes. Un plus gros spécimen ensuite dans une traditionnelle « avancée broutante »...J’ai la nette impression que le rhino est l’animal qui relève le moins souvent la tête de toute la savane… ce qui vaut parfois des moments d’espoir photographiques déçus (à égalité avec l’attente de l’envolée du rollier) . Au sommet d’un acacia, on observe ensuite un magnifique crowned eagle, tout en se délectant du chant d’une hyène qui restera malheureusement invisible. Sans doute l’individu qui a bercé notre nuit de la veille … Thoboti Loop, puis Ngodotsha loop pour suivre, avec au gré de notre parcours : Buffles, Bee eater, un bateleur et des petits zébrions tout trognons. 66. Zebrion sur Thoboti Ensuite, nous passerons pas mal de temps à observer des impalas ; mais surtout le travail des pique-bœufs qui s’affairent sur les antilopes. Curage d’oreilles et nettoyages en tous genres. Entre les poses des uns et les attitudes des autres, on vit un vraiment chouette instant. 67. Séance de curage Après un arrêt a Ubejhane hide, on décide de pousser jusque Mphapha Hide, que nous avions trouvé si joli la veille. Le soleil étant revenu, ce sera un super point picnic. Il y fait encore très calme, mais la vue est très belle. Cependant, on doit surtout se concentrer sur nos tartines, car deux mocking chat ont décidé de tenter le casse du siècle …pas gênés pour un sou ; ils virevoltent en tentant d’agripper quelque chose à chaque passage. Le calme revenu, on a tout le loisir d’observer un gros varan se prélassant sur les rochers face a nous. Il est tellement peu mobile qu’on a mis pas mal de temps à se rendre compte de sa présence. 68. Intérieur tpique d'un hide (Mphapha) L’après midi nous voit revenir tranquillement vers Mpila, puis la porte de sortie. Comme nous avons un peu d’avance, on décidé d’une petite pointe a l’intérieur de Hluhluwe, jusqu’au point d’eau de Cekaneni. Bien nous en a pris puisqu’on pourra y admirer un bon groupe de girafes déambulant gracieusement entre les hautes herbes. C’est donc sur cette belle scène que se referme le chapitre Kwazulu de notre voyage. 69. C'est tout de meme l'emblème de la réserve.... Il est en effet 15h45, et donc temps de sortir de la réserve pour rejoindre l’aéroport de Richards Bay. Nous n’avons qu’une soixantaine de bornes à couvrir, dont 40 sur autoroute. Cela s’avérera tellement aisé qu’on se félicitera une première fois du choix de ce petit terminal pour retourner sur Jo’bourg. Une seconde fois pour avoir du coup pu rester dans la réserve bien plus longtemps que s’il avait fallu rallier le traditionnel Durban. Et une dernière fois en voyant le calme et la rapidité dans lesquels se passent toutes les formalités d’embarquement. Encore pus rapide et pratique qu’à Upington, c’est tout dire. Nous sommes 15 a tout casser à embarquer a bord du coucou a hélice de SAA airlink, vers Jo’bourg que nous atteindrons a peine une grosse heure plus tard. Colin nous y attends pour nous emmener au Country Hideaway, le lodge qu’il tient avec son épouse Diane. En effet ; pas de location de voiture cette fois, vu que nous reprenons déjà un vol dés le lendemain matin vers Upington. Nous y retrouvons ce soir là avec plaisir les chiens Max et Holly pour la troisième fois ; cela nous vaut d’être invités à prendre un verre en compagnie de Colin et Diane, et, évidemment la discussion se prolonge… Sur le coup de 23h, on se dit qu’il est quand même temps d’aller s’engouffrer sous l’édredon, vu le programme chargé du lendemain… |