Pages : 1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 6
- 7 - 8 - 9 - 10
- 11 - 12
- 13 - 14
- 15- 16- 17- 18 - 19 - 20 - 21 - 22 - 23 - 24 - 25 - 26 -
27 - 28 - 29 - 30 - 31 - 32
Afsud 2008 Afrique du sud 2008 : Retour aux sources Journée 1 Notre réveil sonne à 4h45 du mat’… Histoire de se mettre déjà à l‘heure africaine ! Plus sérieusement, cette année, nous voyagerons de jour avec Air France. Train jusque Bxl midi, et Thalys vers Paris… Nous embarquons dans la voiture « silence ». Elle n’aura de silence que le nom. 3 mamas sont en train de deviser ferme à coup de grands gestes, ca piaille sévère. L’ambiance africaine est déjà présente. Celle-ci se poursuivra à l’aéroport : Le système d’acheminement des bagages est en panne. Résultat, les valises sont emmenées par des employés qui poussent des charriots branlants. Ceux-ci sont full, et on panique un peu a l’idée de laisser nos bagages en plan, au beau milieu du check in. Mais bon pas le temps vu l’heure, de trop hésiter. On abandonne donc nos valises à portée de tous, au milieu de l’amas de bagages attendant d’être convoyé. Et on croise les doigts. On n’est vraiment pas encore en Afrique là ? Last call !!! Faut qu’on speed là… Les agents de sécurité ne l’ont pas bien compris, eux qui pousseront la fouille jusque dans les chaussures de miss Tembe. Finalement, on attendra encore 30 minutes avant de décoller, que les derniers retardataires embarquent. Plus de peur que de mal : African time. Au moins, nos sacs auront plus de chances d’être dans la soute du coup. Le vol est confortable, le système de divertissement bien fourni, et surtout ; le bar est en self service a volonté. Quelle belle idée… L’arrivée sur le tarmac de Jo’burg s’opère en douceur. Il est 21h45, et il fait un délicieux 24°. Nous logeons ce soir au Glen Gory Manor. La maitresse de maison était sensée nous accueillir a l’aéroport, mais rien… aarghl. Africa, Africa… Après 30 minutes d’attente angoissée de slalom entre les chauffeurs de taxis, et autres convoyeurs qui se proposent à nous, on finit par apercevoir notre nom sur une feuille de papier qui s’en va au loin… Hep, m’dam’ !! Ouf c’était moins une… On se dirige donc vers la banlieue de Kempton Park, entassés dans la Golf Chicco de Madelene. Au moins, le périph ‘ est désert a cette heure là. On prend possession de notre chambre pour une douche réparatrice et une très courte nuit. En effet, demain, le décollage vers Richards Bay a lieu très tôt… 1. Notre chambre au Glen Gory Manor |